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Tuesday, May 7, 2019

Télécharger le fichier PDF Homo Domesticus

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Homo Domesticus

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Homo Domesticus

Détails sur le produit

Broché: 302 pages

Editeur : La Découverte (3 janvier 2019)

Langue : Français

ISBN-10: 2707199230

ISBN-13: 978-2707199232

Dimensions du produit:

15,4 x 2,7 x 24,1 cm

Moyenne des commentaires client :

4.5 étoiles sur 5

9 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

9.715 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

C’est l’histoire d’un livre qui remet dans la logique un récit qui ne l’est pas. Et c’est son grand atout. Quand on y réfléchit le récit traditionnel de la préhistoire de l’homme ne tient pas debout. Subitement, un beau jour, Homo Sapiens fait pousser des céréales et hop le voila dans sa petite maison avec sa petite femme à manger du pain et à se mettre en route sur le chemin de la civilisation.En se basant sur les dernières découvertes notamment en Mésopotamie mais aussi et surtout sur finalement juste du bon sens « Homo Domesticus » fait un récit beaucoup plus réaliste. Pendant des millénaires les hommes ont survécu avec ce qu’ils ont pu. Un peu de chasse, un peu de cueillette, de l’agriculture sur brulis ou sur limon d’inondation, de l’agriculture de labour, de l’élevage, un peu tout mélangé ou très spécialisé selon les moments. Et avant 1600 la majorité des hommes n’étaient ni sédentaires ni membres d’une communauté assez organisée pour ressembler à un état. En gros l’homme s’est démerdé avec ce qu’il a trouvé pendant 99% de son histoire.Et puis, parfois, il s’est installé, et ce choix qui n’était pas forcément le meilleur en terme de difficulté (un chasseur/agriculteur/éleveur nomade « bosse » moitié moins de temps qu’un agriculteur sédentaire pour produire la nourriture dont il a besoin) a ouvert des horizons pas forcément prévus. En se regroupant il est tombé malade, comme son bétail, avant de développer de quoi résister à ces nouvelles maladies. Et il est devenu aussi plus grégaire, plus docile , plus conformiste, plus fragile. Il s’est auto-domestiqué. Il est aussi, rapidement, tombé en esclavage d’un groupe leader, aux méthodes mafieuses classiques : « Pognon pour sécurité ». Et l’Etat est né.Un peu comme dans « Telegraph Road » de Dire straits on connait la suite : “ Then came the churches, then came the schools. Then came the lawyers, then came the rules”. Religions, nations, écriture, impots et lois. Pour le meilleur et le pire. Surtout le pire d’ailleurs quand, en sortant du traditionnel récit écrit par les « vainqueurs » on s’aperçoit que le meilleur choix était en général de fuir et de redevenir nomade si on voulait vivre bien et vieux. Et de rappeler que la Grande Muraille a surtout été construite pour empêcher les chinois de fuir les impôts et les soldats des empereurs ou que ce que Spartacus et ses amis voulaient c’était juste de pouvoir se tirer de l’Empire romain !A rebrousse-poil de Cain et Abel on se rend compte que le pasteur nomade est l’homme libre depuis des millénaires et que l’oppression avant celle des armes, des nations et des idéologies a d’abord été celle des grains. En se mettant aux céréales (blé, riz, mais, millet…) l’homme a fermé ses propres chaines en créant l’impôt avec une denrée qui se divise à l’infini, se partage, se taxe, se stocke et se conserve. Ces constats posés avec de beaux arguments et une grande logique on se met à réfléchir différemment sur certains épisodes de l’histoire. La conquête de l’Amérique devient une immense fuite de populations ne voulant pas des états « modernes », les « barbares » de toutes époques deviennent beaucoup plus sympathiques et les organisations décentralisées définitivement plus logiques.Ceci-dit, le livre pourtant finit par se perdre dans une dissertation un peu vaine sur « l’âge d’or barbare » et sur des comparaisons touffues et sans vrai fil conducteur entre les différentes organisations humaines. Entre esclavage, guerres, pillages, grandeurs et décadences des empires, soubresauts historiques, on ne voit pas trop où l’auteur veut aller une fois qu’il a remis les choses à leur place. Comme l’homme s’est lui-même piégé (avec certains animaux), l’auteur s’est piégé dans son sujet en essayant de le porter plus loin dans la réflexion ou plus près de nous dans le temps. Non l’homme ne peut pas redevenir une espèce de petits groupes nomades ruraux opportunistes comme il était génétiquement prévu qu’il soit, l’homme est aujourd’hui un Homo Domesticus, OGM d’Homo sapiens, citadin, social et bêtement moutonnier.Comme le dit le Boss (oui j’assume les citations pop music aujourd’hui) l’homme est un peu le gars de « Hungry Heart »: « Like a river that don't know where it's flowing I took a wrong turn and I just kept going”. Nous ne reprendrons pas le lit où nous devions couler mais cela n’empêche pas de penser qu’en nous dort un homme libre, celui que nous avons été pendant pratiquement toute notre histoire et qu’il serait bon parfois de s’en souvenir quand la rivière de l’étatisme collectif grossit, vague inhumaine qui déjà souvent a noyé bien trop d’hommes dans ses excès.

S'appuyant sur les dernières recherches en archéologie et se fondant sur son expérience personnelle (Lire Zomia), James C. Scott revisite la révolution néolithique telle que décrite par Gordon Childe eyt ses succésseuts qui ne fut vraisemblablement pas aussi simple et linéaire qu'il a pu sembler. Tour à tour l'auteur examine le pourquoi de la domestication (plantes et animaux), de la sédentarisation et de l'apparition de l'état. L'idée centrale est le rôle joué par les céréales aux différents stades de développement de la sédentarisation toujours en concurrence avec les peuples nomades.Enfin, le texte s'ouvre par une lumineuse préface de JP Demoule qui rappelle la filialisation de Scott à l'anthropologie anarchiste (M. Sahlins, P. Clastre ou plus récemment D. Graeber)L'ouvrage ouvrage et sa thèse sont passionnants, bien écrit, clair, agréable à lire et très bien référencé pour celles et ceux qui voudraient approfondir (ref en anglais)

Les éditions de La Découverte ont la très bonne idée de sortir une traduction de Against the Grain, un ouvrage de philosophie politique de très haute tenue. Voici le commentaire que j'ai rédigé il y a peu sur sa version anglaise.Professeur de sciences politiques à Yale, spécialiste en sociétés agraires, James C. Scott nous emmène dans un voyage multi-disciplinaire. Il passe en revue quelques dizaines de millénaires d'histoire du genre homo pour développer un argumentaire sur la naissance des premiers états. Sa thèse : ce ne sont pas le sédentarisme ni l'agriculture qui sont à l'origine de ceux-ci mais les céréales! Les sociétés pré-étatiques n'avaient pas besoin de surplus autre que celui qui servait à faire le joint entre les périodes de plus ou moins grande abondance ou éventuellement à échanger (oui, il n'y a pas besoin de "civilisation" pour faire du commerce). C'est uniquement lorsque qu'il a fallu "financer" des organisations proto-étatiques par une confiscation du surplus (par et pour des élites guerrières ou religieuses) par l'impôt que la culture des céréales s'est intensifiée, et avec elle l'élevage, malgré tous les maux liés à cette évolution (intensification du travail, épidémies, hiérarchisation de la société et violence qui vont avec). Le gros avantage de certaines céréales ? Elles ont un très bon rendement à défaut d'avoir une valeur nutritive élevée, murissent à un moment défini, sont visibles (contrairement aux tubercules et autres racines), se conservent très bien et surtout, sont facilement divisibles. Toutes qualités importantes si l'on peut envoyer des agents pour prélever une taxe. L'illustration par la dîme du quatrième chapitre est très parlante.Non, les premières civilisation mésopotamiennes ou chinoises (et à leurs suite bien d'autres empires) n'étaient pas des phares vers lesquels se précipitaient les chasseurs-cueilleurs ou nomades avides de prospérité et de culture, mais plutôt de grosses machines inefficaces basées sur la contrainte (travail forcé, contrôle de la reproduction - des animaux et des femmes!). Oui, ceux qui pouvaient se soustraire à ce mode de vie le faisaient souvent. Et oui, l'histoire est toujours écrite par les vainqueurs, surtout ceux qui laissent des traces bien visibles et qui se conservent (l'écriture, les monuments, les canaux d'irrigation, les objets).Le dernier chapitre, sur l'Age d'Or des barbares, est particulièrement éclairant. En un peu plus de 250 pages, impeccablement argumentées, Scott développe une vision un brin provocante mais parfaitement plausible.

Cela ne l'interresse pas! Il n'y a,pour lui, que des hommes en trop !Sauf lui-même, ses amis et ses pouvoirs! a réfléchir ,S.V.P.!Jacky LABORDE ,ing-conseil-honoraire à ANGLET

Une autre vision des premiers Etats et des raisons et modalités de leur creation ; particulièrement intéressant en ce qui concerne la création des premiers systèmes fiscaux/culture des céréales. A lire absolument !

Livre fondamental qui déconstruit le récit évolutionniste des sociétés humaines depuis 400 000 ans et ouvre la possibilité d'une prise en main de notre destin. Pour tout humaniste

J’emprunte le terme espagnol pour signifier la force argumentative magistralement sauvage de James C. Scott. faire de l’histoire, c’est bien savoir voir ce que les pouvoirs ne veulent pas nous faire voir ! Vive l’anarchie !

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